« Le Murmure des choses » change de tonalité selon les heures et l’alternance des saisons.
Il raisonne dans les traces de lumière.
Cette lumière délicate et grave, à l’étroit entre mer et ciel.
Il naît des distensions, distorsions, contractions et autres étirements…
Il résonne dans l’absolue complexité d’un bleu et active le scintillement de l’eau.
Comment peindre le vent ou le vide, sans symboliser ni calquer ?
Je tente de convoquer les formes et le souffle de l’air.
« Le Murmure des choses » questionne.
C’est à son écoute que le regard reste libre.